PROJET 4
Séq 1 : introduire le fantastique dans le cadre réaliste

La nouvelle fantastique.

Texte page 180

LE NEZ

LECTURE ANALYTIQUE

1/ Oui : nom et prénom/ métier/ situation familiale- lieu…



2/ La femme du barbier utilise le langage familier.
- La femme du barbier semble en parfaite mésentente avec son mari et n’attend de celui-ci qu’une gaffe pour le réprimander, même s’il s’agissait d’affaires de nez coupés, aux séances de rasage.
3/ « Il n’a qu’à manger du pain, l’imbécile ! Songea la dame… »
« …et elle lança un pain, sur la table. »
- Le temps est le passé simple, c’est le début de l’action et de la prise de l’attention du lecteur.
- (Le chamboulement).
4/ Non ! Elle accuse son époux d’avoir coupé le nez à l’un de ses clients, à savoir qu’il en était habitué à le faire.
5/ Non.
6/ Le barbier en était mort de peur alors que son épouse prend la chose avec banalisation.
7/ Le récit est fantastique.


Vocabulaire

A/ Les connecteurs temporels
Exercice 2 Page 218

Complète par : « puis- d’abord- enfin- lorsque- pendant que- avant que »

« Il prit d’abord, un petit chemin bordé d’arbustes fleuris, puis traversa un pré avant que ses poursuivants ne le repèrent. Se sentant à l’abri, il tenta enfin d’envoyer un SOS sur son téléphone portable, pendant qu’il scrutait les alentours. »



B/ Champ lexical du fantastique

Chimérique- irréel- bizarre- une fiction- insolite- hallucinant- incroyable-
Fictif- qui sort de l’ordinaire…

Scénarios de films de science- fiction :

King Kong- Tarzan- Spider man- Super man- La planète des singes- Hell boy- Matrix…etc


Ecrivains français du fantastique :

Balzac- Mérimée- Gautier- Nerval…





« De vrais scénarios de romans ou de films peuvent quelques fois se réaliser dans la vie réelle : « La chute par attentats des deux tours jumelles, dans le « World trade center » aux USA ; avait déjà été prédite, avec une précision hallucinante, quelques années, auparavant, dans un roman fantastique d’un jeune écrivain américain.


Séquence 2 : Exprimer son imaginaire dans une nouvelle fantastique.


TEXTE : Une boutique singulière

Hypothèses de sens :

- L’adjectif « singulière » est relatif à quel objet bizarre, exposé, dans la boutique ?
- peut-on vendre un pied de momie, dans une boutique ordinaire ?
- quel objet bizarre l’auteur peut-il trouver, dans cette boutique singulière ?

Lecture analytique
- Le temps dominant est l’imparfait. C’est le temps par excellence de la description, dans le récit.
- Dans les 2 premiers et les 2 derniers §.
- Non. L’auteur fait une pause, en décrivant le contenu de la boutique, de fond en comble.



Récits fantastiques de Théophile Gautier.

La cafetière.
I

L’année dernière, je fus invité, ainsi que deux de mes camarades d’atelier, Arrigo Cohic et Pedrino Borginioli, à passer quelques jours dans une terre, au fon d de la Normandie.
Le temps qui à n notre départ, promettait d’être superbe, s’avisa de changer tout à coup et il tomba tant de pluie, que les chemins creux où nous marchions étaient comme le lit d’un torrent.
Nous en foncions dans la bourbe, jusqu’aux genoux. Une couche de terre grasse s’était attachée aux semelles de
nos bottes et par sa pesanteur relent- tissait tellement nos pas, que nous n’arrivâmes au lieu de notre destination qu’une heure, après le coucher du soleil.
Nous étions harassés ; aussi notre hôte, voyant les efforts que nous faisions pour
Pour comprimer nos bâillements et tenir les yeux ouverts, aussitôt que nous eûmes soupé, nous fit conduire chacun dans notre chambre.
La mienne était vaste ; je sentis, en y entrant, comme un frisson de fièvre car il me sembla que j’entrai dan s un monde nouveau.
Rien n’était dérangé, la toilette couvertes de boites à peignes, de houppes à poudrer, paraissait avoir servi la veille.
Deux à trois robes de couleurs changeantes, un éventail semé de paillettes d’argent, jonchaient le parquet bien ciré, et à mon grand
étonnement, une tabatière d’écaille ouverte sur la cheminée était pleine de tabac, encore frais.
Je ne remarquai ces choses qu’après que le domestique, déposant son bougeoir m’eut souhaité un bon somme et je l’avoue je commençais à trembler comme une feuille.
Je me déshabillai proprement et je me couchai et pour en finir avec ces sottes frayeurs, je fermai bientôt les yeux en me tournant du côté de la muraille.


C’était les aïeux de notre hôte, des chevaliers bardés de fer, des conseillers en perruque et de belles dames au visage fardé et aux cheveux poudrés à blanc, tenant une rose à la main.
Tout à coup, le feu prit un étrange degré d’activité ; une lueur blafarde illumina la chambre et je vis clairement que c e que j’avais pris pour de vaines peintures était la réalité car les prunelles de ces êtres encadrés remuaient, scintillaient d’une façon singulière ; leurs lèvres s’ouvraient et se refermaient mais je n’entendais rien que le tic-tac de la pendule et le sifflement de la bise d’automne.
Une terreur in surmontable s’empara de moi, mes cheveux se hérissèrent sur mon front, mes dents s’entre- choquèrent à se
Briser, une sueur froide inonda tout mon corps.
La pendule sonna onze heures. Le vibrement du dernier coup retentit longtemps et, lorsqu’il fut éteint tout à fait…Oh ! Non, je n’ose pas dire ce qui arriva. Personne ne me croirait, et l’on me prendrait pour un fou.
Les bougies s’allumèrent toute seules ; le soufflet, sans qu’aucun être visible lui imprimât le mouvement, se prit à souffler le feu, en râlant comme un vieillard asthmatique, pendant que les pincettes fourgonnaient dans les tisons et que la pelle relevait les cendres.
Ensuite une cafetière se jeta, en bas d’une table où elle était posée et se dirigea, clopin –clopant, vers le foyer où elle se plaça, entre les tisons.
Quelques instants après, les fauteuils commencèrent à s’ébranler en agitant leurs pieds tortillés d’une manière surprenante,
vinrent se ranger, autour de la cheminée.

II
Je ne savais que penser de ce que je voyais ; mais ce qui me restait à voir était encore bien plus extraordinaire.
Un des portraits, le plus anciens de tous, celui d’un gros joufflu à barbe grise,
rebondit entre les ais étroits de la bordure, sauta lourdement par terre.


Il n’eut pas plutôt pris haleine, qu’il tira de la poche de son pourpoint une clé d’une petitesse remarquable, il souffla dedans pour s’assurer si la forure était bien nette et il l’appliqua à tous les cadres, les ns après les autres.
Et tous les cadres s’élargissent de façon à laisser passer aisément, les figures qu’ils renfermaient.
Tous les personnages qui sortaient, présentaient un air si bizarre que, malgré ma frayeur, je ne pus m’empêcher de rire.
Ces dignes personnages s’assirent ; la cafetière sauta, légèrement sur la table. Ils prirent le café, dans des tasses du Japon, blanches et bleues, chacune d’elle munie d’un morceau de sucre et d’une petite cuillère d’argent.
Quand le café fut pris, tasses, cafetière et cuillères disparurent, à la fois et la conversation commença, certes la plus curieuse que j’aie jamais ouïe, car aucun de ces étrangers causeurs ne regardait l’autre, en parlant : Ils avaient tous les yeux fixés, sur la pendule.
Je ne pouvais moi-même en détourner mon regard, vers l’aiguille qui marchait vers minuit.
Enfin, minuit sonna, une voix dont le timbre était exactement celui de la pendule, se fit entendre et dit : « voici l’heure, il faut danser ! »
Toute l’assemblée se leva. Les fauteuils se reculèrent de leur propre mouvement ; alors chaque cavalier prit la main d’une dame et la même voix dit : « Allons messieurs, de l’orchestre, commencez ! »
J’ai oublié de dire que le sujet de la tapisserie était un concerto italien d’un côté et de l’autre côté, une chasse au cerf où plusieurs valets donnaient du cor.
Le maestro leva sa baguette et une harmonie vive et dansante s’élança des deux bouts de la salle…
…Les danseurs n’arrivaient pas à rattraper la cadence des notes rapides de la partition exécutée par les musiciens, aussi c’était pitié de voir les efforts de ces danseurs partir, en vains car l’orchestre les devançait toujours de trois ou quatre notes.
La pendule sonna une heure ; ils s’arrêtèrent. Je vis une femme qui ne dansait pas.
Elle était assise au coin de la cheminée et ne paraissait pas le moins du monde prendre part à ce qui ce passait, autour d’elle.
Jamais même, en rêve, rien d’aussi parfait ne s’était présenté à mes yeux ; une peau d’une blancheur éblouissante, des cheveux d’un blond cendré, de longs cils et des prunelles bleues, si claires et si transparentes que je voyais son âme à travers, aussi distinctement qu’un caillou, au fond d’un ruisseau.
Et je sentais que, si jamais il m’arrivait d’aimer quelqu’un, ce serait elle.
Je me précipitai, hors du lit d’où jusque- là je n’avais pas bouger et je me dirigeai, vers elle, conduit par quelque chose qui agissait en moi, sans que je puisse me rendre compte, causant avec elle comme si je l’eusse connue, depuis vint ans.
Mais par un prodige bien étrange, tout en lui parlant, je marquais d’une oscillation de tête la musique qui n’avait pas cessé de jouer et les pieds me brûlaient de danser avec elle.
Cependant, je n’osais lui faire la proposition. Il paraît qu’elle comprit ce que je voulais car, levant vers le cadran de l’horloge, la main que je ne tenais plus : - « Quand l’aiguille sera là, nous verrons mon cher Théodore. »
Je ne fus nullement surpris de m’entendre ainsi appeler par mon nom et nous continuâmes à causer.
Enfin l’heure indiquée sonna, la voix au timbre d’argent vibra et dit : « Angéla, vous pouvez danser avec monsieur si cela vous fait plaisir mais vous savez ce qui en résultera ! »
- « N’importe ! » Répondit Angéla d’un ton boudeur.
Et elle passa son bras d’ivoire, autour de mon cou.
- « Prestissimo ! Cria la voix »
Et nous commençâmes à valser.
J’étais inondé d’une joie ineffable et j’aurais toujours voulu demeurer, ainsi.

III

Fatiguée, je la fis asseoir, elle était devenue froide comme un marbre.
Une alouette chanta, une lueur pâle se joua, sur les rideaux.
Aussitôt qu’Angéla l’aperçut, elle se leva précipitamment, me fit un geste d’adieu, poussa un cri, après avoir fait quelques pas et tomba de sa hauteur.
Saisi d’effroi, je m’élançai pour la relever…Mon sang se fige rien que d’y penser : Je ne trouvai rien que la cafetière brisée, en mille morceaux.
Persuadé que j’avais été le jouet de quelque illusion diabolique, une telle frayeur s’empara de moi que je m’évanouis.

IV
Lorsque je repris conscience, j’étais dans mon lit ; « Arrigo Cohic » et « Perdino Borgnioli » se tenaient, debout, à mon chevet.
A leurs interrogations, je répondais : « Ce n’est qu’une faiblesse qui m’a pris ! »
Je me levai, me dépouillai de mon ridicule accoutrement, puis l’on déjeuna.


Mes camarades mangèrent beaucoup ; moi je ne mangeais presque pas , le souvenir de ce qui c’était passé me causait d’étranges distractions.
Le déjeuner fini, comme il pleuvait à verse, il n’eut pas moyen de sortir ; chacun s’occupa comme il put.
Je me mis à dessiner, les linéaments presque imperceptibles tracés par mon crayon, se trouvèrent représenter avec la plus merveilleuse exactitude la cafetière qui avait jouer un rôle si important, dans les scènes de la nuit.
- C’est étonnant comme cette tête ressemble à ma sœur Angéla, dit l’hôte.
En effet, ce qui m’avait semblé tout à l’heure une cafetière était bien réellement le profil doux et mélancolique d’Angéla.
- De par tous les saints du paradis ! est- elle morte ou vivante ? M’écriai-je d’un ton de voix tremblant comme si ma vie eût dépendu de sa réponse.
- Elle est morte, il y a deux ans, d’une fluxion de poitrine, à la suite d’un bal.
- Hélas ! répondis-je douloureusement.
Et retenant une larme qui était près de tomber, je replaçai le papier, dans l’album.
Je venais de comprendre qu’il n’y avait plus pour moi de bonheur, sur la terre.

























Ce poème est authentique.







Ce qui reste, aux vieux…



Ils se réveillent les souvenirs,
Si douloureux et si lointains.
De ce vieillard contre le mur
Qui se rappelle, chaque matin.
Sa jeunesse aux éclats de rire
Et les doux moments de jadis.
Tous ses amis, toutes les folies,
Les contes de fées de nourrisse.


Il se rappelle sa joie de vivre,
Auprès d’un cœur qui l’a chéri.
Auprès de celle qui autour d’elle,
Les étoiles du ciel avaient ri.
Auprès de celle, qui a promis,
Rester toujours, auprès de lui.
Fidèle, mais qui part, sans lui,
C’est sa parole qu’elle a trahie.


Il se rappelle sa tendre enfance,
Et la douce main de sa mère.
Qui voyageait dans ses cheveux
Pour l’endormir, les soirs d’hiver.
Devant le feu d’une cheminée,
Il se rappelle les bons repas.
La voix de son père et le vieux chat
Qui frôlait le sol à petits pas.


Il se rappelle la marche à pieds,
Sur les chemins des écoliers.
Le vieux sapin et l’olivier,
Nombre de noms sont oubliés.
Il se rappelle, la tête ailleurs,
La furieuse course de la vie.
Le temps qui na pas eu le temps,
Sa santé qui l’avait quittée.


Il entend cette vielle chanson
Qui accompagnait ses vingt ans.
Il la fredonne encore maintenant,
La voix éteinte, les larmes aux yeux.
Que reste-il de l’aube des fougues ?
Que des nuits sombres de démence.
Que reste-il des vieilles amours ?
Que le silence morne et l’absence.


Il a laissé derrière lui,
Tout ce qui est plus cher que de l’or.
Quand il a pris ce train de nuit,
À destination sans retour.
Il sait que ce qui reste aux vieux,
Quelques souvenirs et des adieux.
Les autres attendent avec des yeux
Qui verront passer d’autres vieux.



Ecrit par :Mansour Yamina.






Organisation de types de textes : particularités.

1- Le texte narratif (Récits)

Le texte narratif narrent des événements (faits- actions) qui s’enchaînent et qui se succèdent, dans un cadre chronologique de temps et un cadre de situation dans l’espace (le lieu).
On y emploie des locutions prépositives et des conjonctions de temps : (au moment où- pendant que- après- enfin- tout à coup…). Des personnages animés vrais ou personnifiés jouent le rôle d’actants.
Adjuvants/ opposants.
Ne pas confondre : l’auteur avec le narrateur. (Le narrateur et le narrataire)


Les temps de la narration : (l’imparfait- le plus que parfait, le passé simple- le passé composé et présent narratif- futur hypothétique- présent historique.)
Les temps internes (durée de la fiction)- les temps externes (l’époque à laquelle vit le romancier et celle à laquelle vit le lecteur)- le temps historique (roman historique d’une époque reculée.)
Le texte narratif s’organise en trois moments :
- la situation initiale : moment et lieu de l’implantation du décor.
- Les événements ou péripéties qui surviennent soudainement, qui s’enchaînent et se succèdent. Introduction d’éléments perturbateurs ou modificateurs qui provoquent le déroulement des actions.
- La situation finale : (Le dénouement) A la fin, on a une sorte, de solution, d’état des lieux, qui achève les actions, selon le type du récit. Certains écrivains, dans certains de leurs romans laissent la fin suspendue.
« Fin ouverte. »
- La description ou la suspension de la narration :
L’action, dans le récit est la partie active, et la description est la partie contemplative.



Les types de textes narratifs : le récit descriptif, le récit argumentatif, le récit fantastique, le récit de presse (le fait divers, l’interview), le récit historique, le récit réel, le conte, le récit fictif, l’histoire, la fable, la légende, le dialogue, la nouvelle, les romans (le roman épistolaire : les lettres)…, la biographie, …etc.

1- Le texte argumentatif

Il comporte trois parties :
1-La thèse : poser la problématique (le problème, en question) concernant un sujet ou un thème qui suscitera des avis contraires, une convergence ou une divergence.
Texte qui traitent de conflits, de prouesses technologiques, d’événements historiques, sujets d’actualité, textes scientifiques, philosophiques, critique littéraire…etc.
2-l’antithèse : c’est la partie qui répond à la question de la problématique déjà posée, en argumentant pour défendre la thèse ou la démentir (prise de position), tout en tenant compte de deux avis : opposition ou adhésion/ opposant ou adjuvant/ accord ou désaccord/ réfutation ou concession/ avantages ou inconvénients/ pour ou contre…
Ici, on emploie des organisateurs logiques, tels que les :
- Articulateurs ( connecteurs) énumératifs : D’bord- ensuite- enfin…premièrement- deuxièmement…
- Articulateurs transitifs : d’ailleurs- d’une part- d’autre part- en outre…
- Articulateurs additifs : Et- aussi- également- à savoir- de plus- de même- voire…
- Articulateurs oppositifs ( concessifs): Or- mais- en revanche- par contre- d’un côté- d’autre côté- au contraire- toutefois_ néanmoins- cependant …
- Articulateurs causatifs : parce que- car- c’est pourquoi-
- Articulateurs conclusifs : Donc- ainsi- donc- en effet- aussi- en conséquent- alors- de ce fait…
- Articulateurs illustratifs et résumatifs : par exemple- notamment- entre autre- en général- en particulier, en bref – en résumé- en somme…

On emploie le mode indicatif (le présent, le futur).
L’indicatif est le mode des faits réels (les actions sont réels et se réalisent.) modalité des faits concrets et de l’objectivité.
Remarque : Absence ou effacement de l’auteur qui parle, sans s’impliquer mais qui peut s’inscrire de manière référentielle comme l’auteur ou les auteurs du texte, à la fin. Absence des pronoms personnels ( je- nous- on…) ; dans sa prise de position, ou dans l’expression de son point de vue.

3- La synthèse : C’est une sorte de conclusion, dans laquelle, l’auteur résume son point de vue, de façon générale pour appuyer, ce qu’il a déjà exprimé, avec les articulateurs conclusifs et résumatifs.

3-Le texte descriptif

Le texte descriptif fait partie du texte narratif car il y joue le rôle de la pause alternant, les actions. C’est un passage obligé et indispensable.
Le texte descriptif peut avoir pour sujet de description : (le portrait physique/ moral d’un personnage- l’espace (le lieu)- le temps- un état d’âme- un sentiment- une sensation- une impression- un objet...

Les procédés de la description

- L’emploi du présent ou de l’imparfait de l’indicatif.
- L’emploi de la comparaison : (comme- pareil- plus- moins- autant que- le même- ressembler- rappeler-…)
- Les adjectifs qualificatifs- les propositions relatives- les compléments des noms- les phrases nominales (les métaphores- la métonymie : (Le ciel pleut des flammes.)
- L’auteur s’inscrit, dans le texte descriptif, proprement dit.

4- Le texte explicatif :

Il comporte trois parties :

a- La définition : C’est la présentation du thème, à expliquer, en bref. C’est la première explication, donné par l’auteur qui ne se présente pas, personnellement, ni dans le texte ni, à la fin du texte.( Absence des pronoms personnels définis)

b- La reformulation : C’est la reprise de la définition, avec plus d’expansion et d’élargissement.
L’auteur emploie :
- le présent de l’indicatif.
- Les articulateurs explicatifs : C’est- c'est-à-dire- par exemple- à vrai dire- ceci représente- ceci ou cela explique-
- Les deux points : pour l’illustration, l’énumération ou l’explication.
- Les verbes d’état : être, employé comme présentatif et verbe de définition ou d’état.
c- la conclusion : Elle conclut et résume, les explications.

1- Le compte rendu ou le résumé.
Le plan

- Introduction.
- Parties.
- Sous- parties.
- Conclusion.

Pour rédiger un compte rendu, il faut :

- Etablir un plan.
- Lire rapidement son texte, en soulignant avec un crayon les passages, les plus importants.
- Indication de la para textualité : (l’auteur, le titre, la source de l’information…)
- La prise de notes : (Prendre l’essentiel et éliminer le secondaire.)
- Pas d’interprétation (fidélité du texte authentique, à respecter.)
- La méthodique : (Classement des informations.)
- Aération du texte : (moins de volume.)
Mansour yamina
Hassi Bah Bah / Le 12/12/12