Projet 2 : Le concours de lecture
Séquence 1 : Je découvre la vie des animaux,
dans la fable.








Projet 2


Je prépare mon 2ème projet

Au cours de mon 2ème projet, je lis des fables.
Je vais, à la fin, en choisir une et la reformuler ;
c'est-à-dire, l’interpréter comme je l’aurai, moi
comprise.
Je dois respecter les trois moments de cette
fable et ajouter ou enlever des choses que moi
je jugerai nécessaires ou pas.
C ’est un résumé que je dois faire, en somme.









Expression orale

Les fables sont des histoires imaginaires qui
sont racontées, à travers la langue des animaux qui
sont alors personnifiés.
Comme le conte, la fable comporte, aussi trois
moments.
Les plus grands narrateurs de fables : Le grand poète
français : JEAN de la Fontaine (1622-1695)
- Abd Allah dit « Ibnal Moqaffaa » écrivain d’origine
persane.
- El Moqaffaa signifie l’estropié du bras. (N’a qu’un
Seul bras, suite à la torture).

Exemples d’animaux célèbres de fables :
Le loup- la brebis- le lion- le coq- la tortue- le lièvre-la
Cigale- la fourmi- le petit cochon- le souriceau- le chat-
Le corbeau- le renard- la colombe- la tortue………
1/ Quelles sont les qualités qu’on peut leur attribuer ?
2/ Aimez- vous les animaux ?
3/ Quel est l’animal que tu aimes, le plus ?
4/ Pourquoi ?


5/ Est- ce- que les animaux parlent comme nous ?
6/ Où peut – on les faire parler ?
7/ Quel est le dessin animé très regardé qui représente
des animaux qui parlent ; que tu préfères ?
8/ Tom réussit- il à manger Jerry ?
9/ Qu’est- ce- qui arriverait s’il y parvient ?


Compréhension de l’écrit

La tortue prétentieuse

On raconte qu’un couple de hérons et une
tortue, unis par les liens de l’amitié, vivaient, au
bord d’un lac.Vint un temps où l’eau du lac baissa
par la sécheresse.
Il ne tomba pas une seule goutte de pluie. Les
hérons décidèrent, alors de quitter les lieux, ils
firent leurs adieux à la tortue qui leur demanda de
l’emmener avec eux.
- « Nous ne pouvons le faire qu’à une condition, ne
réponds rien aux gens qui, en te voyant signaleront
ton passage.



Tu saisiras un morceau de bois par le milieu,
avec tes mâchoires, un morceau de bois que nous
prendrons chacun par un bout. »
Le projet plut à la tortus et les deux hérons
l’emportèrent dans leur vol mais à ce spectacle, les
gens se dirent les uns aux autres : « Regardez, c’est extraordinaire ! Une tortue, entre deux hérons qui l’emportent dans les airs. » En entendant ces paroles,
la tortue répliqua : « vous voilà bien contrariés ! »
Mais ayant ouvert la bouche pour dire ces paroles,
elle tomba et se tua.

Le livre de « Kalila et Dimna »

1/Quel est le titre du texte ?
2/ Quelle est la source du texte ?
3/ Quels sont les personnages du texte ?
4/ Le texte est un conte ou une fable ?
5/ Quelle fut la condition des hérons pour accepter
d’emporter la tortue avec eux ?
6/ La tortue l’a- t-elle- respecter ?
7/ Que lui arriva- t-il ?
8/ Quelle morale t’apprend cette fable ?



Vocabulaire

1/ Caractéristiques de la fable :

- Des animaux (tous, peuvent avoir un rôle.)
- Les rôles sont attribués selon les caractéristiques de
Chaque animal :
Le singe : la malice.
Le renard : la ruse.
Le lion : la force.
L’âne : la stupidité…etc
Certains animaux peuvent jouer des rôles qui sont
différent de leurs vraies natures.
- La personnification : les animaux parlent, raisonnent
comme les humains.
- La fable se compose de trois moments comme le
conte :
- La situation initiale.
- Les évènements.
- La situation finale.
La fable finit par une morale, à conclure ou à lire.
Cette morale est adressée à nous.


La synonymie

- Heureux = content = joyeux.
- Peureux = lâche = une poule mouillée.
- Courageux = brave = audacieux.
- Aveugle = qui ne peut pas voir.
- Habile = qui a de l’adresse.
- Gourmand = avide = vorace = qui mange bcp.
- intelligent = qui possède des facultés à résoudre
Les problèmes.


La synonymie peut se faire
avec des mots équivalents de
même sens ou avec des phrases
qui permettent de définir et
d’expliquer le sens d’un mot.


Explique les mots suivants :
- Un animal = ……………………………..
- Un lion =…………………………………
- Une morale =…………………………….
- Un conteur =…………………………….
- Un nid = ………………………………..



Grammaire


Valeurs du présent de l’ind /Le présent narratif

J’observe et j’analyse.

« Monté sur son âne, un charbonnier rentre de la ville.
Il est content : il vient de vendre tout son charbon.
Il traverse la forêt.
Tout à coup que voit –il ?
Un lion, un vrai lion, accroché par une patte, dans
La fente d’une branche. Le roi des animaux se plaint,
Il souffre beaucoup.

- Souligne tous les verbes qui sont conjugués,
au présent.
- Le texte est un conte.
- Le conte est au présent mais c’est le présent narratif.
- Le conte est une histoire qui s’est déroulée dans le
Passé mais ses évènements sont racontés, au présent
De narration.



Conjugaison

Complète, au présent de l’indicatif :
- J’aime les animaux. - Je lis ma fable.
- Tu………………… - Elle ………….
- Elle………………… - Vous …………
- Nous…………….. - Tu ……………
- Vous…………… - Ils …………….
- Ils……………. - Nous …………
****************
- J’en suis content.
- Tu …………….
- Nous…………..
- Elles …………..

(Etre méchant –grimper - aimer -aveugler):
Sont les verbes qui forment ces adjectifs qui ont
la même fonction que les adjectifs épithète .ils
s'accordent en genre et en nombre avec le nom
auquel, Ils se rapportent et peuvent
se placer, avant où après ce dernier.
Il se terminent par le suffixe :"ant "




Orthographe

L’adjectif verbal

J’observe et j’analyse
- un méchant monstre habitait cette forêt.
- Des plantes grimpantes envahissaient les murs du
château.
- Une mère aimante ne peut que tout donner, à ses
enfants.
- Un soleil aveuglant, lui frappa les yeux comme la
Foudre.

Exercice

Forme les adjectifs verbaux, à partir des verbes
Suivants:
- (intéresser) : Tu as fait des remarques…………

- (satisfaire) : Elle a eu des notes……………….

- (nourrir) : Il prend un traitement……………..

- (Agacer) : Le moteur produit un bruit………

Lecture plaisir

Il est deux hommes qui ne voient jamais :
L’aveugle et le sot car de même que l’aveugle est
incapable de voir le ciel, ni la terre ou de distinguer
ce qui est loin de ce qui est près, ce qui est devant de
ce qui est derrière ; de même le sot qui ne sait point
ce qui le sert de ce qui le perd, l’intelligence de la
bêtise, la beauté de la laideur ni le bien du mal.

Kalila et Dimna.


Atelier d’écriture

Voici des éléments qui constituent une fable,
construis- la.
Le lion et la souris.

« Rrrâh ! Rugit le lion, j’ai une épine, dans la patte,
qui me l’enlèvera ? »
Le Singe- le rhinocéros- la gazelle- le coucou- le gorille- l’autruche- le léopard- le vautour.
- Le rat.
- Pas moi.








Séquence 2 :
J’insère un dialogue, dans ma fable


Compréhension de l’écrit

L’histoire d’un lapin et d’un gland.

Un lapin s’est endormi, sous un chêne, un gland
tombe sur lui et le frappe à la tête.
Effrayé, il se lève et s’en fuit. Il rencontre un rat
qui lui demande : « Pourquoi cours- tu si vite ? »
- Et, un gland est tombé sur ma tête et m’a frappé
comme une balle !
Le rat va trouver le hérisson : « Oh ! Mon
cousin ; sais tu ce qui arrivé aujourd’hui ? Une
grosse branche de chêne est tombée sur la tête
du lapin.
- Le hérisson va trouver le porc- épic : « Sais- tu ce
qui est arrivé aujourd’hui ? Beaucoup de chênes
sont tombés, je crois qu’il n’y a plus d’arbres.
Où allons- nous nous cacher ? ».
Le porc-épic court chez la gazelle : « Ma sœur,
sais- tu ce qui est arrivé ? Un vent a déraciné tous
les arbres de la forêt. »
L’autruche qui a tout entendu, rend visite, à l’éléphant.



Elle lui dit : « Toi qui es très fort et très sage,
sais- tu ce qui est arrivé ? Un vent terrible a tout
emporté, la forêt est détruite, le sol a tremblé, tout
a brûlé.».
L’éléphant réfléchit un moment et lui dit :« allons,
raconte- moi ce que tu as vu. »
- Moi, rien. C’est la gazelle qui me l’a dit.
- Et qu’ a-t- elle vu, la gazelle ?
- Rien non plus. C’est le porc-épic qui le lui a dit.
- En somme, personne n’a rien vu.
L’éléphant et l’autruche se dirigent vers la forêt.
La forêt est toujours là. Il n’ y a ni vent, ni feu, ni tremblement.
- « Vois- tu, autruche, il faut toujours s’assurer que
ce qu’on raconte est bien vrai ! »

Contes populaires
Questions

- Quels sont les animaux cités, dans cette fable ?
- Par quel petit événement commence- elle ?
- Par quel grand événement finit- elle ?
- Que conseille l’éléphant, à l’autruche ?
- Pourquoi ?




Vocabulaire


Les verbes introducteurs, dans le dialogue


J’observe et j’analyse

- Le cuisinier prit un morceau et dit : « A ta place,
j’ajouterai du sel ! ».

- « Qu’ y aura t- il- encore » s’inquiéta le voleur.

- « Comment tu as trouvé ta chambre ? » Il l’interrogea.

- « Quelle horreur ! » s’écria t- elle

- « Moi, je peux t’aider ! » s’exclama t-il.

- Il lui demanda : « Par quel chemin, tu es passé ? »

- Il déclara : « La fête est terminé. »




- « Je vais bien me régaler. » pensa- t –il.

- « Je veux ma part, moi aussi ! » réclama –il.





Les verbes introducteurs, au
style direct annoncent les paroles ou
les pensées des Interlocuteurs dans un
dialogue et qui sont mise entre guillemets.
Il n'ont pas de place définie, dans la
phrase. Ils précisent le type de l'action
mise, entre parenthèse.









Grammaire


La ponctuation, dans le dialogue

- Le tiret (-) : Signale le changement des personnage,
dans les répliques.
- Les guillemets « » : Encadrent les paroles ou les
pensées exactes des interlocuteurs.
- Les deux points (Smile : Annoncent les paroles ou les
pensées, après un verbe introducteur.
-Le point d’exclamation : Il marque la surprise et
l’ étonnement.
- Le point d’interrogation : Il marque l’interrogation
directe.

Exercice

Mets la marque de ponctuation qui convient.
- « Moi, que je lui dise… »
- « Que de fleurs, dans ce jardin… »
- « Quelle belle princesse… »
- « Quel chemin prendrons- nous… »
- « Comment tu peux faire ça… »


Conjugaison


Le futur simple de l’indicatif

J’observe et j’analyse

Le loup : « Moi te manger ! Avec les cornes que tu as,
tu sauras bien te défendre ! Je te promets de ne pas te toucher ».
La chèvre : « Passe- moi le seau, au fond du puit, je
sauterai, dedans et tu me soulèveras »

Les verbes savoir, sauter, soulever, sont au futur
De l’indicatif.


Le futur de l'indicatif indique toujours que,
les actions sont réalisables, à un moment déterminé
du futur proche ou lointain.
Il peut être employer dans les dialogues de récits
ou signifier que dans les récits passés, on peut
vivre les actions au présent ou au futur.






Terminaison : rai- ras- ra- rons- rez- ront



Exercice

Complète, au futur

- Je sorti…, plus tard.
- Elle fini…, demain.
- Nous mange…, toujours pour vivre.
- Le soleil se lève…, chaque jour.
- Ta présence me comble…











Orthographe


Les adverbes de manière.

J’observe et j’analyse

1/ Les adverbes en : ment

- Le voleur a été pris, facilement.
- La princesse s’habille, merveilleusement.
- le coq se battait, courageusement.
- La fée apparaît, miraculeusement
- Le feu s’alluma, délicatement.


Adjectifs féminins : facile, merveilleuse, courageuse, miraculeuse, délicate.








On pose la question "comment" ?
Ces adverbes sont des adverbes de
manière. Ils se forment à partir
d'adjectifs qualificatifs mis au féminin.
Le sujet fait ou subit son action ?






Exercice

Forme les adverbes de manière, à partir des
Adjectifs suivants :

- Silencieux ………………..
- Rapide …………………
- Fort …………………
- Sportif ………………….
- Naïf ………………….
- Petit ………………….




Atelier d’écriture

ØImagine les répliques manquantes:

Le renard et la chèvre

- Le renard : « Bonjour, petite chèvre, veux – tu faire
Une promenade, avec moi ? Il y a de l’herbe tendre,
derrière cette colline. »
- La chèvre : « ……………………….. »
- Le renard : « Je te promets que je ne te toucherai
pas. D’ailleurs, je viens juste de déjeuner ; je viens
de manger, un gros canard, tout graissé ! J’ai même
très mal au ventre et je veux brouter un peu d’herbe
grasse et fraîche, avec toi pour me soulager. »
- La chèvre : « …………………………….. »
- Le renard : « Tant pis pour toi, tu es aussi têtue
que ta mère ! »
Le renard repartit, le ventre creux.






Lecture plaisir


…Les amis, répliqua le rat sont deux sortes :
Ceux qui vous sont soumis et ceux qui vous contraignent.
Les uns et les autres cherchent leur utilité et évitent
tout ce qui leur pourrait nuire.
Envers les premiers, quoi qu’il arrive, on se
montre familier et confiant ; envers les seconds, familier
ou méfiant, selon les circonstances.
La plupart des relations humaines ne visent qu’à
une satisfaction rapide d’intérêts.




Kalila et Dimna.






Séquence 3 :
Je découvre les morales de mes fables





Expression orale

J’observe et j’analyse

1/- L’eau a beau chauffé longtemps sur un feu,
versez- la sur ce feu, elle l’éteindra malgré sa
température élevée.

2/- C’est faire preuve de la plus grande sottise que
d’imposer à son ami de se battre, quand on peut
soi- même se passer de le faire.

3/- L’habit ne fait pas le moine.


4/- Un être réfléchi ne se laisse point duper par
l’amitié que lui offre son ennemi.

5/- La paix est plus avantageuse que la guerre.






Ø Des gens peuvent se cacher, sous leurs habits
ou derrière leurs comportements et prétendre, ce
qu’ils ne sont pas vraiment pour duper les autres.
On peut aussi mal juger les gens, à cause de leur
apparence qui ne reflète pas ce qu’ils peuvent être
réellement.


La morale est la conclusion qu'on tire
d'une leçon donnée par des histoires, comme
les fables et dont on peut retenir, l'exemple
dans les situations de vie quotidienne pour
éviter la sottise et le mal
La morale est une façon d'enseigner aux
gens la sagesse et la maîtrise de soi,
dans les situations difficiles de la vie.


Synthèse
Cite quelques proverbes ou citations que
tu as déjà entendus ou lus.



Compréhension de l’écrit


Le laboureur et ses enfants

Travailles, prenez de la peine ;
C’est le fonds qui manque le moins.
Un riche laboureur, sentant sa mort prochaine,
Fit venir ses enfants, leur parla sans témoin.
Gardez- vous, leur dit- il de vendre l’héritage
Que nous avons laissé nos parents
Un trésor est caché dedans,
Je ne sais pas l’endroit mais un peu de courage ;
Vous le fera trouver, vous en viendrez à bout.
Remuez votre champ, dès qu’on aura fait l’août
Remuez, fouillez, bêchez, ne laissez nulle place
Où la main ne passe et repasse.
Le père mort, les fils vous retourne le champ.
Deçà, delà, partout si bien qu’au bout de l’an,
Il en rapporta d’avantage d’argent.
Point de caché mais le père fut sage,
De leur montrer, avant sa mort
Que le travail est un trésor.

De la Fontaine


Situation de communication.

1/ Quel est le titre de cette fable ?

2/ Qui est son auteur ?

3/ Quels sont ses personnages ?

4/ Quel est le secret que le père confia à ses enfants,
Avant de mourir ?

5/ Que leur demanda- t- il ?

6/ Quels sont les verbes d’action employés, à
L’impératif par lesquels le père donna ses consignes ?

7/ Y- a- avait- il eu un quelconque trésor, dans le
Champ ?

8/ Que rapporta le travail au champ ?

9/ Quelle leçon de morale, nous enseigne le poète,
à la fin ?




Vocabulaire


La périphrase

J’observe et j’analyse

- Le roi de la forêt est le lion.
- L’ami de l’homme est le chien.
- L’astre du jour est le soleil.
- Les fruits de mer sont des espèces d’animaux
aquatiques.
- La rose de sable est une forme de fleur formée
par l’érosion de sable.
- Avoir la peur aux jambes c’est courir de peur.
- Avoir une araignée, au plafond c’est être fou.
- Avoir la tête, dans les nuages c’est quand on
est trop rêveur.
- Bâtir des châteaux, en Espagne c’est trop rêver,
aux choses impossibles.
- Vouloir décrocher la lune c’est quand on veut quelque
chose d’impossible.



- Le repos éternel c’est la mort.

- L’or noir c’est le pétrole.

- Le lien sacré c’est le mariage.

- Le tour de France est une course à vélos.

- La terre des ancêtres est la patrie.

- L’art des ânes est l’écriture. Dit –on !

- La boite à merveilles est la télévision.


La périphrase est la définition
d'un mot par plusieurs mots.
La comparaison et l'attribution sont
les procèdes d'une explication, sur
laquelle tout le monde est d'accord.






Grammaire


Les types de phrases


Exercice

Précise le type de chacune de ces phrases.

Ø Me tuer, moi ! Je ne suis pas une méchante bête
comme vous !

Ø Et maintenant que tu as bu, comment vas- tu sortir
d’ici ?

Ø Je monte dans l’autre seau, ainsi vous descendrez
moins vite et vous ne me ferez aucun mal.

Ø Remuez, fouillez, bêchez, ne laissez aucune place.






Conjugaison


L’impératif présent

J’observe et j’analyse
- Viens ici, l’eau est bonne.
- Attends ! Ne t’en va pas.
- Bois ! Ne trouves – tu pas que cette eau est bonne ?
- Descendons au puit.
- Restez où vous êtes.


Un verbe à l'impératif présent se conjugue
avec trois pronoms personnels :(tu, nous, vous)
Le verbe prend seulement les terminaisons
relatives à ces pronoms.
L'impératif est le temps par excellence de
l'ordre (l’injonction) mais il peut exprimer
également d'autres valeurs comme "Le conseil,
la consigne, la prière, la demande, la mise
en garde, l'interdiction, l'indication,
la contre –indication…




Verbes du 1er groupe : ( e – ons – ez)
Verbes du 2ème groupe : ( is – issons – issez)


Exercice

ØEcris à l’impératif présent, les verbes :(parler et saisir)

Atelier d’écriture

 Ecris les morales suivantes, à l’impératif présent,
Avec le pronom « Tu »
Emploie des phrases de type impératif.

- « Ettouffer sa haine, au lieu de la nourrir. »
- « Ne pas gâcher ce qui peut servir tes intérêts.»
- « Ne pas chercher à corriger celui qui a l’esprit faussé. »
- « Savoir que la tromperie et la ruse rattrapent celui qui
Est utilise. »
- Ne pas négliger l’amitié des gens généreux mais savoir
profiter de leur largesse et rendre leur service par ton intelligence. »
- « Ne pas dévoiler un secret qu’on vous a confié car c’est violer la foi jurée. »

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